Il est ressorti de cette étude que les personnes disposant de peu de ressources, en insertion et en recherche d’emploi sont moins mobiles que la moyenne. Ces problèmes de mobilité peuvent concerner jusqu’à 20% des adultes en âge de travailler et certains territoires sont particulièrement touchés. Or, ces difficultés ont un impact direct sur leur insertion puisque 50% des personnes en situation précaire ont déjà dû refuser un poste ou une formation pour des problèmes de mobilité.
Les travaux menés ont ainsi abouti à huit champs de recommandations parmi lesquelles renforcer l’apprentissage et l’autonomie en mobilité, mettre les nouveaux services à la mobilité au service des précaires ou encore reconnaître le métier des opérateurs sociaux de mobilité et renforcer leurs moyens d’action.